par TeleSur
Selon les publications les plus récentes de la propre Marie de guerre des États-Unis, trois jours après être passé par le détroit de Gibraltar vers les Caraïbes, le porte-avions USS Gerald R. Ford, le plus moderne de la Marine des États-Unis n'a pas bougé du nord de l'Afrique, selon une confirmation obtenue par le média spécialisée dans les affaires militaires The War Zone.
En parallèle de la pause des opérations du porte-avions, il a manqué deux voix pour que soit approuvé au Sénat des États-Unis un projet de loi destiné à arrêter les attaques contre le Venezuela, et en plus de l'opposition, certains sénateurs républicains se sont également exprimés en faveur du fait de revenir sur cette escalade. Des sénateurs qui ont donné leur soutien au gouvernement et qui ont rejeté la proposition confirment que, ces derniers jours, il n'y a pas eu de mouvements significatifs.
À la sortie de la session, le républicain Todd Young a apporté des éclaircissements sur la situation actuelle. Il a publié sur les réseaux sociaux que son vote négatif n'était pas un soutien des actions du ministère de la guerre mais le produit de multiples consultations préalables. Tout indique que ces consultations, réalisées par des fonctionnaires du gouvernement Trump confirment qu'en ce moment, il n'y a ni plan ni raisons légales pour une opération contre le Venezuela.
Pendant ce temps, le ministère de la guerre poursuit sa campagne d'exécutions extrajudiciaires dans les Caraïbes et dans le Pacifique oriental et des secteurs de l'extrême droite ibéro-américaine parlent de semaines ou même d'heures pour que se produise une incursion militaire au Venezuela.
Concrètement, la marine des États-Unis elle-même a fait des publications récentes évoquant les travaux qui sont menés à bien sur ce porte-avions à propulsion nucléaire, ainsi que la Sixième Flotte, destinée essentiellement à l'Europe, à l'Afrique et à la Méditerranée.
Au milieu du labyrinthe de la Maison-Blanche, les ambitions des extrémistes violents hors du Venezuela pronostiquent des actions guerrières et appellent à la guerre, mais le porte-avions nucléaire qu'ils célèbrent tant ne semble pas avoir commencé sa traversée de l'Atlantique.
Au Venezuela, la vie réelle se déroule entre les achats de Noël et l'organisation de nouvelles élections auxquelles ont été proposé presque 40 000 projets qui font partie du renforcement du pouvoir communautaire, le porte-avions le plus puissant de la Révolution Bolivarienne.
source : TeleSur via Bolivar Infos